Harry J. Potter
7ème année [G]
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« En ce qui me concerne, j'essaye de le considérer comme n'importe quel autre élève. »
Severus Rogue
nom(s) ;
prénom(s) ; Harry James.
surnom(s) ; L'élu, le survivant.
âge ; 17 ans.
année à Poudlard ; Septième année, même si Harry ne l'étudiera pas.
maison ; actuelle ou ancienne Gryffondor.
baguette ;bois, objet dans la baguette, taille Houx, 27,5 cm de longueur, avec une plume du phénix.
matière enseignée ; uniquement pour les professeurs Harry n'enseigne aucune matière, si on ne considère pas les cours de DFCM qu'il donnait aux membres de l'armée de Dumbledore.
& Lieu de Naissance ; Le 31 juillet 1980 à Londres.
nationalité & Origine ; Origines Anglais Purs.
créatures ;Animagus? Loup-garou, Vélane? Aucun de ces trois. Harry n'est pas une cérature xD |
♣ Character & Physical physique ; votre façon de vous habiller, vos défauts physiques... on est tous uniques ! 6 lignes minimum
« Parce que toi et lui, vous êtes liés par le sort qu'il t'a jeté et qui a raté. Il ne s'agit pas d'une cicatrice ordinaire…»
Albus Dumbledore
Harry n’a pas une apparence à charmer littéralement toutes les demoiselles de Poudlard qui croisent son chemin, il est assez difficilement comparable à Cedric Diggory ; non, son « succès » auprès des filles est entièrement dû à sa célébrité et à l’embarrassant rôle qu’on lui a attribué. Sans doute, ces curieuses pies surexcitées ne doivent être envoûtées par Harry qu’à l’idée d’être l’unique fiancée du sorcier contemporain le plus célèbre de leur génération ! Si seulement elles savaient à quel point Harry est indifféré... Mais là, nous nous éloignons du sujet ; nous disions donc, Harry a un physique facilement considéré comme acceptablement sympathique au premier coup d’œil, mais qui est loin de le rendre susceptible d’être clamé comme mignon.
Harry a des cheveux d’un noir de jais très combattants. Exceptionnellement doués quand il s’agit de faire dresser des épis dans la nuque où à lui emmêler la chevelure, ils sont universellement considérés comme en bataille continuelle, d’ailleurs, Mrs Weasley s’en est déjà plaint : « Ses cheveux ne s’aplatissent donc jamais ? » [l’ami Daniel, bien qu’acteur assez bon pour le complexe personnage qu’est Harry, n’a pas les cheveux en bataille. C’est décevant, il ne faut donc pas trop se fier à mon avatar à ce sujet ;-) ] Harry a souvent, très souvent plutôt, été décrit comme étant le portrait craché de James, son père. Assez grand et maigre ; (une maigreur d’ailleurs travaillée au fil des ans passés dans l’hostile demeure des Dursley), des genoux frêles et noueux ; l’air presque maladif de celui qui a grandi trop vite, assez typique à l’adolescent ; et une éternelle paire de lunettes rondes posées sur le nez, sans lesquelles il n’arrive presque pas à voir, ou du moins de manière floue et très handicapante. Une exception subsiste à l’apparence si égale à son père, Harry possède une paire d’yeux d’un vert brillants, aussi profonds que ceux de Lily. Des yeux principalement remarqués par les connaissances des parents du jeune Gryffondor... Aussi, l’Elu est connu pour sa fameuse cicatrice en forme d’éclair tamponnée au front, trace ineffaçable que lui a légué Voldemort, plus ou moins douloureuse selon le caractère, l’activité ou le taux d’approche du Seigneur des Ténèbres... Il y avait un temps ou cette cicatrice était l’une des fiertés physiques de Harry, aujourd’hui, il n’aime pas trop que les gens l’aient continuellement en vue ou quittent leur regard de ses yeux pour se tourner vers l’intrigante trace rouge pâle.
Harry n’a jamais possédé des habits moldus aussi propres et adaptés que ceux de son cousin Dudley. Il a longtemps été habillé d’une manière désordonnée, chiffonnée, aux vêtements bien trop grands et pour cause : ayant appartenus à son cousin. Dès son arrivée à Poudlard, il eut un uniforme flambant neuf, une robe de sorcier à la taille parfaite et Harry pu enfin s’habiller, en dehors des cours, bien sûr, de la manière moldue simple et classique qui lui plaisait tant, sans tomber dans l’état grotesque de ces habits qu’il avait si longtemps sur son maigre dos. Comme la plupart de ses condisciples de Poudlard l’exhibèrent avec fierté, les vêtements moldus sont devenus à la mode dans la nouvelle génération. Plus originaux, plus nombreux et moins flagrants que les robes de sorciers si remarquables que les adultes s’obstinent à porter. Certains élèves se joignent même à la mode moldue en cours, ravis à l’idée de participer au moins à une tendance « in ». Harry, de son humble avis, préfère autant rester discret dans son habillage vestimentaire afin de limiter les regards qui se tournent si souvent vers lui puis vers sa légendaire et éternelle cicatrice...
caractère ; chacun sa personnalité. la vôtre? 8 lignes minimum
« Hum, ce n'est pas facile. C'est même très difficile. Je vois beaucoup de courage. Des qualités intellectuelles, également. Il y a du talent et... ho ! ho ! mon garçon, tu es avide de faire tes preuves, voilà qui est intéressant... »
Le Choixpeau Magique
Harry n’a jamais eu de quelconque problème mental, contrairement à ce qu’à insinué, dans une Gazette du Sorcier de 1994 et avec une grande insistance, Rita Skeeter en affirmant que sa cicatrice avait une influence sur son cerveau (en fait, le sujet de Harry Potter, « grand héros » n’était plus très à la mode, elle avait sournoisement décidé de varier la chose en prenant comme sujet : Harry Potter, « grand taré »). La cicatrice qui orne le front de Harry n’a fait que lui attirer une célébrité approximative et des regards en plus, mais sinon, Harry n’est pas considérable de fou ou d’aliéné à cause de cette marque curieuse et unique. En vérité, il a toujours voulu passer comme une personne tout à fait comme les autres, et il n’est pas non plus extraordinaire, intérieurement, que les autres élèves de Gryffondor. Et ses exploits, me diriez-vous ? Il n’aurait réussi aucun de ces « exploits » sans ses amis. Tous ont été à ses côtés dès qu’il en avait besoin. Harry tient à eux plus que tout le reste.
Harry est cependant une personne aux combats intérieurs presque perpétuels. Deux fragments de son esprit se battent quelquefois, l’un défendant l’impartialité et la vérité, l’autre les sentiments et les véritables pensées cachées de Harry. C’est le cas cette année : Ginny, la sœur de Ron, l’attire comme jamais, mais il a peur d’une réaction de Ron égale à celle qu’il a eu en voyant Dean embrasser Ginny... Ainsi, il ne sait pas si il doit écouter ses sentiments ou si il doit se retenir afin de conserver l’amitié avec Ron qui lui est si chère. Harry est quelqu’un d’intelligent, de généreux, et qui, bien qu’assez peu travailleur et derrière des dessous d’idiot que certaines personnes continuent encore de sous-entendre, n’est pas plus attardé que vous et moi et qui refuse qu’on se fiche de lui, principalement à cause de la jeunesse qu’il avait lors de ses actes ou du hasard naïf qui a provoqué sa célébrité dans la communauté magique...
Magiquement parlant, Harry n’est pas non plus mauvais ou juste chanceux. Il maîtrise à la perfection le sortilège de Désarmement, il arrive à bien exécuter de nombreux maléfices tels que le sortilège d’Attraction, d’Entrave, de Stupéfixion... il réussit à faire un Patronus corporel (chose que peu de sorciers réussissent à faire) et fait preuve d’une grande détermination quand il s’agit de s’imposer en duel ou autre. Il résiste au sortilège de l’Imperium.
Comme lui a justement fait remarquer le Choixpeau, Harry, après les années d’horreur passées au 4, Privet Drive et la haine et le harcèlement subit lors de sa petite jeunesse, a toujours souhaité enfin se faire remarquer de manière efficace, de faire ses preuves, chose qu’il a réussit à moitié en neutralisant (dans l’ordre) Voldemort, puis le corps emprunté par Voldemort, puis un Basilic, puis une sorte de fantôme de Voldemort, puis des centaines de Détraqueurs, puis un dragon, puis Voldemort à nouveau, puis un partie non négligeable du gang de Voldemort... Bien sûr, plus d’une fois, la plupart de ces exploits voulurent être étouffés mais il y eut des fuites et Harry fut sujet d’un certain nombre de compliments mais aussi de nombreuses jalousies. « D’habitude, ce sont les ennuis qui le trouvent » : ce n’est pas lui qui veut être célèbre, qui recherche l’ambition ou les ennuis (même s'il est, inutile de le nier, quelque peu fouineur et un brin trop curieux)
Harry est aussi quelqu’un de haineux, de vengeur. La colère éprouvée lors de la mort de son parrain Sirius avait pris le dessus sur sa tristesse, bien que ce fut l'inverse quelque temps plus tard. Il est susceptible, mais ne sait se taire qu’une fois sur deux, refusant le mensonge ou la surdité devant la vérité, Harry est aussi une personne aux défauts que sont la prétention intérieure et la timidité, aussi. Bien sûr, Harry est maladroit aussi, avec les filles (entre autres) ou avec ses amis lorsqu’il n’arrive plus à contenir ses excès de rage. Son courage reste tout de même célèbre pour son entourage et Ron et Hermione sont deux personnes auxquelles Harry peut compter et faire ses confidences. Ce sont ses amis de toujours.
animal de compagnie ; Une chouette couleur de neige nommée Hedwige.
cours favori & cours détesté ;
camp ; Wish of Snake, Dumbledore's Army? Neutre? Dumbledore's Army, The Order Of Phœnix.
♣ Story Time histoire ; de voter naissance à aujourd'hui. 15 lignes minimum
"Je me demande ce que ce serait d'avoir une vie difficile..."
Harry Potter, sarcastiquement
Harry James Potter est le fils de James Potter et de Lily Evans, deux grands sorciers très respectables et très respectés. Sortis en couple depuis leurs études, très amoureux, ils ont donné naissance au jeune Harry le 31 juillet 1980. La famille, heureuse, loin d’être pauvre, pouvait se préparer à couler de beaux jours de bonheur et d‘amour… jusqu’à ce qu’une maudite entité nommée Destin s’en mêle et frappe avec cruauté.
A peine un an après la naissance de Harry, le plus grand et redouté mage noir du pays, autoproclamé Lord Voldemort, avait décidé de s’en prendre à la famille Potter et de tuer un par un tous ses membres. Pourquoi, me demanderiez-vous ? En fait, le jeune couple fraîchement marié faisait partie d’une association assez secrète nommé l’Ordre du Phénix. Celle-ci, sous la sage direction de son fondateur Albus Dumbledore, directeur de l’Ecole de Sorcellerie Poudlard, complotait et agissait (en vain) contre Voldemort et ses Mangemorts qui faisaient des ravages dans le monde magique en ce temps-là. L’Ordre était donc considéré comme la principale résistance contre l‘oppresseur. Bien sûr, l’existence de ce regroupement de sorciers ne tarda à parvenir jusqu’à l’oppresseur en question et celui-ci se mit à son tour à l’attaquer… Les Potter échappèrent trois fois aux sbires de Voldemort, in extremis, mais, suite à la trahison du lâche Peter Pettigrow, Gardien du Secret de la cachette des Potter, Voldemort, excédé, se rendit en personne jusqu’à leur demeure de Godric’s Hollow et s’occupa personnellement d’éliminer ces deux membres de l’Ordre du Phénix.
Il commença par enfoncer la porte, tua James Potter, tentant de s’interposer, puis rejoignit Lily Potter en ricanant. Il voulut d’abord s’occuper de leur fils, Harry. Une nouvelle question nous vient alors à l’esprit : Pourquoi vouloir supprimer Harry, nourrisson inoffensif ? Nous répondrons brièvement à cette question : peu avant la naissance de Harry, une prophétie fut annoncée. Cette prophétie affirmait qu’un enfant, né fin juillet, tuerait un jour le Seigneur des Ténèbres. Deux personnes convenaient à cette prophétie : Neville Londubat et Harry Potter… Vu que les parents de Harry avaient échappé trois fois à Voldemort, seul Potter semblait pouvoir répondre à la prophétie, ce qui était le cas. Une seule solution, donc : supprimer Harry Potter de la même manière que ses parents, afin de régler le problème…
Mais Lily Potter ne fut pas de cet avis. Après la mort de son époux, elle refusa de se pousser et préféra se sacrifier plutôt que de laisser son fils mourir… Voldemort leva ses deux yeux rouges au ciel et accepta le « marché ». Tant pis pour elle. Il la tua sans état d‘âme, puis se tourna vers le nourrisson d’à peine un an. Harry James Potter ne sembla pas d’abord réagir négativement à la vue de ce nouveau compagnon de jeux et se demandait pourquoi sa maman jouait à tomber dans les pommes, c’était bien la première fois. Les secondes passant, maman ne se relevait toujours pas, et le malheureux bébé commença à pleurer pour l’inciter à se relever. Quand au « compagnon de jeux », après s’être bien amusé de son odieux meurtre, leva son bâton d’un air rieur et lança une sorte d’expression avec des « A » partout en pointant le bâton sur le front de l’enfant.
Vous l’avez tous compris, la formule que l’infâme Voldemort avait lancé n’était autre que l’Avada Kedavra, sortilège Impardonnable, promesse de mort, avec laquelle il s’était débarrassé de Lily et James. Cependant, Harry n’eut pas le même sort que ses parents. Au lieu de tuer Harry, l’éclair vert ricocha sur sa tête et ce fut Voldemort qui le reçut de plein fouet. La seule trace restante du sortilège fut une cicatrice qui lui barra le front en un éclair assez curieux. Le terrible Voldemort, quand à lui, disparut dans la nuit, ni mort, ni vivant…
Cet assaut provoqua une grande débandade dans les rangs de l’Ordre du Phénix comme de ceux des Mangemorts. Voldemort ne laissait plus une seule trace de vie ; les cadavres de James et Lily furent retrouvés ; mais, au lieu de trouver un petit corps sans vie dans le berceau de la chambre de Harry, on se retrouva nez à nez avec un petit bonhomme frétillant de vie, une cicatrice étrange sur le front. La maison Potter, quand à elle, était en ruine à beaucoup d’endroits, Voldemort semblait s’être bien amusé avant de disparaître…
Qui est ce « on » qui a été le premier à retrouver la famille et la demeure Potter dans cet état désastreux ? Son nom : Sirius Black, membre de l’Ordre du Phénix, parrain de Harry Potter et grand ami de James et Lily, arrivé avec sa belle motocyclette volante. Ruisselant de larmes en découvrant les cadavres du couple, mais heureux comme un béni en surprenant la parcelle de vie venant de son filleul, il serra le nourrisson dans ses bras pendant une bonne heure, en lui murmurant de nombreuses paroles réconfortantes. Harry, lui, ne comprit pas tout.
Au bout d’une heure, un nouveau venu rejoignit les ruines. Son nom : Robeus Hagrid, membre de l’Ordre du Phénix, Gardien des Clés et des Lieux à Poudlard. Celui-ci avait été envoyé par Dumbledore afin qu’il puisse prendre conscience des dégâts et regarde si un survivant pouvait encore être là… Ce fut le cas. Harry Potter pleurait dans les bras de son parrain. Hagrid, lui aussi, ne tarda pas à éclater en sanglots mais n’oublia pas sa mission. Ramener l’enfant à Dumbledore était la meilleure chose à faire. Sirius Black accepta à contrecœur, mais légua à Hagrid son propre moyen de transport magique afin qu’il puisse se rendre plus rapidement où il devait aller.
Hagrid prit donc Harry et repar dans le ciel… pour arriver, quelques temps plus tard, à Privet Drive, une rue moldue comme on en voit des dizaines en Angleterre…! Là-bas, Dumbledore et le professeur Mcgonagall (aussi de l’Ordre et professeur à Poudlard) attendaient le demi-géant anxieusement. Avait-il mené sa mission à bien ? Fort heureusement, c’était le cas, et c’est aussi avec un grand soulagement qu’ils virent arriver Hagrid sur la moto volante.
Harry Potter s’était enfin endormi. Sous l’œil embué de larmes de Hagrid et de celui aussi très triste de Minerva McGonagall, Dumbledore déposa le bébé emmitouflé dans des langes sur le seuil d’une porte, avec une enveloppe proprement signée de sa main. De ce geste qui pouvait paraître tout à fait bienfaisant à Harry Potter, il venait de lui gâcher les dix premières années de sa vie qu’il passera au 4, Privet Drive. Il venait de le déposer à la seule famille qui restait à Harry, à la famille la plus moldue qui soit, à la famille qui était loin d’être la plus conseillable du Royaume-Uni. Les Dursley.
Comme nous l’avons tristement fait remarquer il y a quelques lignes, Harry Potter allait passer une dizaine d’années de mauvais traitements et de rabaissements moraux surprenante. Durant ces dix ans de son existence, il vécut au fond d’un placard fort poussiéreux, allait être une sorte d’esclave des Dursley et allait subir les coups personnels de son énorme cousin Dudley. Que de moments de rages il éprouva ! Que de moments de jalousie il ressentit envers d’autres familles ! Le minable Harry Potter, le pouilleux Harry Potter, le maigrelet Harry Potter, l’orphelin Harry Potter… le placardé Harry Potter, le poursuivi Harry Potter, le mal habillé Harry Potter ; voilà qui était Harry Potter dans cet hostile monde de Moldus. Le plus rageant dans l’histoire, cependant, était que Harry Potter devenait un nom célèbre chez les sorciers et que tous ou presque le respectaient pour son acte de magie involontaire peut-être, mais d’une difficulté et d’un niveau extraordinaire.
Il y eut de nombreux évènements déplaisants, donc, durant son long séjour au 4, Privet Drive, et la raison principale de tant de haine venait principalement des connaissancesdes Dursley à propos du don de magie de Harry. Pétunia, femme de Vernon Dursley, n’était autre que la sœur de Lily Evans/Potter et avait toujours méprisé sa sœur et son maudit don magique. En prenant connaissance de l’identité de Harry grâce à la lettre de Dumbledore (appelé communément « le vieux fou » chez les Dursley), ils surent que le jeune Potter serait inévitablement un être bizarre, anormal, comme ses parents. Ils voulurent (mais bien sûr sans succès) éradiquer tout ce qu’il y avait de « non-moldu » en Harry en lui faisant subir un traitement odieux et inacceptable qui sous-entendait fortement : « si tu fais quoique ce soit de bizarre, on te le fais payer ». Hélas pour le pauvre Harry, il ne contrôlait pas encore ses pouvoirs et plus d’une fois il se fit sévèrement punir pour ses actes magiques involontaires… la plupart du temps inoffensifs.
Tout changea un pendant les vacances d‘été de 1991. Des hiboux semblaient avoir pris Privet Drive comme lieu de rassemblement commun, au grand dam des Dursley qui craignaient une quelconque manifestation des « anormaux ». Bientôt, une lettre arriva au nom de Harry Potter et ce fut la débandade, car les Dursley savaient désormais que cette missive venait du monde des sorciers… Vernon Dursley s’occupa personnellement de brûler une par une chacune de ces enveloppe. Ce ne fut pas si simple ; à chaque lot de lettres supprimé, le triple revenait dès le lendemain. Excédé, Vernon Dursley barricada sa boîte au lettre, son dessous de porte et toutes les entrées pouvant servir d’un moyen d’accès aux lettres. Mais malgré les efforts surprenants de l’oncle Vernon, les hiboux se démultipliaient à Privet Drive, et les lettres aussi. Bloquer une boîte aux lettre ne stoppe pas de si nombreuses enveloppes, et c’est un dimanche de fin de juillet, précisément, où une véritable invasion de parchemin réussit à s’infiltrer dans la maison, par la cheminée, par les fenêtres, et par des ouvertures sûrement inexistantes... Pris d’une terreur assez compréhensible, les Dursley fuirent dans un hôtel lointain, puis, vu que ce déplacement ne suffisait pas à semer les hiboux, s’exilèrent jusque dans une masure au beau milieu d’une île isolée. Ils restèrent quelques jours jusqu’à ce que, un jour particulièrement orageux, la veille du onzième anniversaire du jeune Potter (bien sûr, pour ne pas changer les bonnes habitudes, les Dursley semblaient avoir complètement oublié l’évènement ; alors qu’ils avaient célébré en liesse et avec une générosité sans borne celui de Dudley, d‘ailleurs, la sortie au zoo avait été un fiasco à cause grâce à Harry qui dû une fois de plus en payer les conséquences), une arrivée totalement inattendue dérangea les Dursley en pleine nuit : Robeus Hagrid, pour la seconde fois en dix ans, venait emporter Harry Potter avec lui suite à la demande de Dumbledore. Sa nouvelle mission était simple : le préparer à son insertion dans le monde des sorciers et acheter à ses côtés ses affaires pour qu’il puisse rejoindre Poudlard bien équipé.
La venue de Hagrid déclencha une terreur sans borne chez les Dursley. Le demi-géant, déjà, n’avait rien de rassurant physiquement parlant et n’avait pas misé sur le tact pour rentrer dans la masure en défonçant littéralement la porte. Vernon Dursley s’était emparé de sa vieille carabine pour tenter de repousser Hagrid, mais sans succès : le titanesque homme avait réussi à faire un nœud avec le canon et avait de ce fait rendu l’arme totalement inutilisable. La seule solution des Dursley, désormais, était de livrer le jeune Harry au géant… Dès qu’il vit le maigre garçon, le caractère de Hagrid changea du tout au tout : chaleureuses présentations, don d’un gâteau d’anniversaire fait maison (quelque peu écrasé, mais c’était l’intention qui compte, non ?), tasse de thé, et explications claires sur la véritable nature de Harry et sur la mort de ses parents. C’était un sorcier, fils de sorciers célèbres et respectés malheureusement assassinés ; mais comme nous le savons, lui ne le savait pas, et sa surprise fut égale à son indignation quand il l’apprit : pourquoi les Dursley avaient caché son don ? Pourquoi avaient-ils jurés que ses parents étaient morts dans un ridicule accident de voiture ? Pourquoi lui avoir fait subir dix années aussi horribles ? Devant les menaces et la propre surprise indignée de Hagrid, ils durent s’expliquer (approximativement) et Harry, dégoûté, accepta de suivre Hagrid pour rejoindre ce nouveau monde qu’on lui avait éternellement refusé.
Première étape : acheter des affaires de base dignes d’un sorcier. Après un rapide passage à Londres et un autre au Chaudron Baveur, bar fréquenté exclusivement par les sorciers, Harry et Hagrid se rendirent au célèbre Chemin de Traverse, l’allée des échoppes magiques par excellence. Harry fut éberlué devant tant de merveilles : hiboux, balais volant, chaudrons, grimoires… ce nouveau monde paraissait vraiment fabuleux. Hagrid emmena Harry vers Gringott, la banque des sorciers, endroit protégé et peuplé de gobelins, créatures très intelligentes et extrêmement méfiantes. Il prit alors conscience que ses parents lui avaient laissé une petite fortune extraordinaire… Gallions d’or, Mornilles d’argent, Noises de bronze, Harry retira tout ce dont il avait besoin sous le regard bienveillant de Hagrid. Une fois le retrait terminé, Hagrid retira autre chose dans un autre coffre. La nature de l’objet était top secrète, et le Garde-Chasse refusa de ne révéler autre chose que l’objet était à livrer à Dumbledore… Mystère donc.
Avec cet argent officiel de sorcier, Harry put s’offrir un beau chaudron , un kit de potion simple, les manuels qui lui fallait, une robe de sorcier (durant l’achat de cette robe, il rencontra un autre élève de Poudlard qui « connaissait » Harry par l‘intermédiaire de sa célébrité involontaire. Leur première altercation ne fut pas très amicale), et une baguette magique, la fourniture la plus importante… Lorsque Harry se rendit chez Ollivander, le vendeur de baguette le plus réputé de Grande-Bretagne (depuis -…), il était seul ; Hagrid était parti acheter le second cadeau d’anniversaire de Harry, qui n’était autre qu’Hedwige.
Dans la boutique de baguettes, Harry rencontra Mr Ollivander en personne, un vieil homme à l’air usé par les ans, mais possesseur d’une aura de sagesse surprenante. Après un rapide regard vers la cicatrice du jeune Potter, Ollivander raconta à Harry ses propres expériences à propos de la baguette de chacun de ses parents désormais défunts et lui accorda ses plus sincères condoléances avant de se plonger dans ses profonds étalages. Harry eut l’impression d’essayer toutes les baguettes du magasin, avant qu’une seule ne soit enfin convenable aux yeux de Mr Ollivander. Bois de houx, 27,5 cm, facile à manier et souple, contenant des échantillons d’une unique plume de phénix. Harry s’apprêta à payer, à remercier Ollivander et à repartir, mais le vieux vendeur prit un air extrêmement mystérieux et confia à Harry que la plume de phénix de sa baguette venait du même phénix qui a fourni une plume à la baguette de Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom en personne. Ce lien entre les baguettes s’avéra être une première dans l’histoire de la magie, et, bien sûr, c’était loin d’être un coïncidence… Harry finit par sortir de l’échoppe, la tête tourbillonnant de questions et sa baguette neuve en main. Il existait donc des liens entre lui et le plus dangereux mage noir de tous les temps…?
Harry passa un peu moins d’un mois à habiter dans une des chambres du Chaudron Baveur sous la surveillance de Hagrid et des autres sorciers, tandis qu‘il passait ses journées à se promener dans le Chemin de Traverse et à découvrir les multiples facettes du monde fabuleux de la magie. Ce mois passé, il finit par aller à la gare de King’s Cross pour rejoindre Poudlard dans un train célèbre : le Poudlard Express. En chemin pour le quai 9 ¾, (qu’il ne trouvait pas) il rencontra une grande famille composée exclusivement de personnes rousses, toutes le visage dirigé vers un gros pilier comme un autre, situé exactement entre les quais neuf et dix. La mère de famille, une petite dame potelée, lui expliqua avec gentillesse comment faire… Et, à l’écoute de ces sages quoiqu’un tantinet saugrenues instructions, Harry réussit (à sa grande surprise) à traverser le mur et rejoindre enfin la gare du Poudlard Express, superbe train à vapeur d’un rouge vif.
Au bord du vaste Poudlard Express, Harry essaya de se trouver un compartiment libre et pas trop bondé ; en effet, le train se remplissait à une vitesse surprenante, et il valait mieux ne pas trop traîner s’il voulait s’asseoir à une place plus ou moins convenable. Il trouva un compartiment ne contenant qu’un seul jeune homme roux et au visage constellé de tâches de rousseur ; c’était l’un des fils de la sympathique dame qui l’avait aidé à atteindre le quai 9 ¾ . Après présentations respectives, ils finirent par se lier et ne se quittèrent plus. A Poudlard, Ron Wesley (car tel était son nom) fut envoyé à Gryffondor, (comme tout le reste de sa famille) et tout comme Harry (qui avait bien failli se retrouver à Serpentard), ils partagèrent un dortoir en compagnie du maladroit Neville Londubat, de Seamus Finnigan et de Dean Thomas. Harry commença à découvrir l’Ecole de Sorcellerie et à suivre des cours de qualité, malgré le fait qu’il restait un élève moyen, comme Ron. Il se découvrit comme un joueur de Quidditch (le sport célébrissime des sorcier, se jouant sur des balais volants. Mais, euh, pourquoi je vous dit ça moi ? Vous connaissez, bien sûr) au talent é. Il adorait voler, et s’avéra être un attrapeur particulièrement doué. Le professeur McGonagall, tellement enthousiaste à l’idée d’avoir un attrapeur aussi doué que le légendaire Charlie Weasley dans l’équipe de Gryffondor, lui offrit même le dernier balai sur le marché : un resplendissant Nimbus 2000. Harry est aussi le plus jeune joueur d’une équipe de Quidditch depuis un siècle… ce qui a toujours été normalement interdit à Poudlard.
Dans la maison de Gryffondor, Harry fit aussi la connaissance d’Hermione Granger, une jeune demoiselle souvent considérée comme « je-sais-tout » et fréquentant très souvent la bibliothèque. Au début, elle ne se fit pas apprécier du tout par Ron et Harry, mais, quand ils assommèrent avec brio un troll incrusté dans l’école dans l’unique but de sauver la demoiselle, une amitié s’installa très vite et ils ne se quittèrent plus. Hermione est en fait une personne très gentille, à l’écoute, courageuse et très intelligente.
A l’opposé de Ron et d’Hermione, Harry ne tarda pas à détester clairement d’autres personnes. Drago Malefoy, le jeune homme blond qu’il avait rencontré chez Madame Guipure, au Chemin de Traverse, se remarquait comme étant quelqu’un de vantard, d’insultant et n’hésitant pas à mettre ses reparties au service de la méchanceté et du harcèlement. Ce Serpentard était toujours escorté de deux gorilles stupides et violents, Vincent Crabbe et Gregory Goyle, qui empêchaient toujours Ron ou même Harry de ne rien faire à Malefoy. Les deux trios ne tardèrent pas à se haïrent réciproquement…
Peu à peu, Harry, Ron et Hermione eurent une grande réputation de fouineurs : très curieux et toujours prêts à découvrir les secrets cachés de l’immensité du Château, ils avaient pris l’habitude de traîner un peu partout dans l’école et à rechercher des informations sur les sujets qui pouvaient les intéresser. Par exemple : le comportement très louche de Rogue, maître des potions, qui hait Harry pour une raison injustifiée et grand amateur de magie noire. Harry, lors d’une ballade nocturne, l’a surpris en train de martyriser Quirell, professeur de Défense contre les Forces du mal bégayant et maladroit, à propos d’un « objet ». Bien sûr, ils voulurent en savoir plus et commencèrent leur petite enquête. Le trio commença alors vraiment à être au sein de drôles d’évènements. L’affaire Norbert, la découverte de Touffu, le mystère Nicolas Flamel... tout cela a fini à le mener sur la piste de la Pierre Philosophale, objet légendaire de l’immortalité et de la richesse éternelle. Après une série d’épreuve d’un niveau extraordinaire, chacune mijotée par un membre du personnel pédagogique de l’Ecole (Assoupir un chien à trois tête, ici Touffu, traverser un Filet du Diable, récupérer une clé ensorcelée volante et ultrarapide, gagner à une partie d’échec de sorcier, version géante et mortelle, déchiffrer l’énigme des potions, vaincre un troll [déjà fait] et trouver la Pierre grâce au Miroir du Risèd)
Il ne resta plus que Harry pour la dernière épreuve et il trouva Quirell en train de tenter de chercher la Pierre. Sauf que Quirell avait deux visages... il était possédé par Voldemort, qui apparemment avait réussi à sauver son âme et à se trouver un serviteur suffisamment stupide pour l'accueillir dans son corps. Il s’ensuivit un combat terrible ou Harry finit vainqueur, mais où il finit aussi à l’infirmerie, la Pierre Phislosophale serrée dans sa paume et sous le regard bienveillant d’Albus Dumbledore.
Cette éprouvante première année n’était qu’un avant-goût de tout ce qu’Hary allait vivre. Durant toutes ses études, il dut subir nombre d’évènements, dut accomplir nombre d’épreuves au risque d’y laisser la vie, tout en menant une vie d’étude, sentimentale et amicale, à côté de ça. Rien ne fut facile pour Harry lors de ses cinq premières années à Poudlard.
On dit de lui qu’il était le descendant de Salazar Serpentard, chose démentie plus oubliée grâce à son acte de héros en sauvant Ginny Weasley et en tuant un Basilic furieux ayant pétrifié la moitié des nés-moldus de Poudlard. Il essaya de prouver au Ministère de la Magie que Sirius Black était innocent et qu’il n’avait jamais accompli ce dont l’accusait, alors que Harry croyait dur comme fer, au départ, que son parrain était le traître lâche ayant livré ses parents à Voldemort, ce que Pettigrow a fait, comme vous le savez. En quatrième année , il devint contre son gré le quatrième Champion du Tournoi des Trois Sorciers, lui attirant moqueries, de gros manques de confiance de la part de tous les élèves ou presque mais surtout une énorme dispute avec Ron. Ce fut un coup très dur, car les Tâches du Tournoi étaient elles aussi loin d’être simples. La pire épreuve de Harry lors de ce Tournoi fut de voir Cedric Diggory mourir et combattre en duel Lord Voldemort en personne. Il le désarma grâce à l’aide indirecte de ses parents... et fuit avec le corps de Cedric dans les bras. En plus d’avoir profondément touché Harry psychologiquement, le retour du plus grand mage noir de tous les temps provoqua la première véritable inquiétude de Dumbledore : Il était revenu. Malgré l’insistance que le directeur de Poudlard manifesta alors en affirmant au Ministère de la Magie que Voldemort était de retour, sous les yeux d’un témoin important (Harry lui-même), Cornelius Fudge, Ministre de la Magie actuel, trop couard pour écouter la vérité, mis en œuvre toute une machinerie politique et pédagogique afin que les paroles de Dumbledore soient étouffées et que les élèves de Poudlard ne le croient pas. Il envoya alors une horrible vieille femme au poste de professeur de Défense contre les Forces du Mal, Dolores Jane Ombrage, qui dispensa de très mauvais cours avant de s’autoproclamer Grande Inquisitrice puis Directrice à la fuite de Dumbledore. Attendez, pourquoi Dumbledore fuit-t-il donc ? En fait, Harry, Hermione et Ron avaient fondé une association secrète contre les cours inutiles d’Ombrage. La dénommée Armée de Dumbledore dispensait de véritables cours clairs et efficaces de Défense contre les Forces du Mal que Harry en personne menait : on considérait qu’il était un sorcier bien accompli pour tout ce qu’il avait vécu ; un professeur rapidement considéré comme doué au sein de l’association.. L’A.D eut un grand succès, mais tout cessa suite à la trahison d’une certaine Marietta, amie de Cho Chang. Torturée intérieurement à l’idée de participer à une activité illicite directement portée contre le Ministère (où travaillait sa mère), elle dit tout à Ombrage et l’A.D se fit attraper. L’association portait le nom d’un vieil homme que nous connaissons bien, et devant le dévoilement public de l’A.D., Dumbledore réagit étrangement en affirmant qu’il était la source directe de tout cela. Ce qui était totalement faux.
Cependant, d’autres évènements eurent lieu en même temps que cette confession douteuse. Harry eut un nouveau rêve prémonitoire égal à celui qu’il a eu en voyant Mr Weasley se faire mordre par le serpent de Voldemort : son parrain, Sirius, se faisait torturer au Département des Mystères du Ministère de la Magie, par Voldemort en personne. Accompagné de ses amis les plus doués et les plus fidèles de l’A.D, Neville, Ginny, Luna Lovegood, et bien sûr Ron et Hermione, Harry partit directement en direction du Département des Mystères sur une famille de Sombrals que peu de personnes dans l’équipée eurent la chance de voir. Une fois au Ministère, il y eut une grande bataille entre A.D., Mangemorts, Ordre du Phénix. Dans ce combat, Sirius mourut d’un Avada Kedavra lancé par Bellatrix Lestrange. Harry eut la plus grande haine de sa vie ; elle paiera... Cependant, avant qu’il ne puisse assouvir son désir de venger son si précieux parrain, Voldemort apparut et tenta d’assassiner Harry sur place. Heureusement, cet assaut se conclut dans un terrible affrontement entre Dumbledore et Voldemort, arrivé lui aussi d’on ne sait d’où. Une fois les Aurors et Fudge enfin arrivés en renfort au Département des Mystère, Voldemort opta pour la retraite mais ne put échapper au regard du Ministre de la Magie... Celui-ci ne put, cette fois, se défiler devant la vérité : Lord Voldemort était revenu, plus puissant que jamais.
Harry entama aussi sa sixième année à l’Ecole de Sorcellerie de Poudlard, bien plus tourmenté intérieurement que lors de ses autres années. La mort de son parrain et cette « responsabilité » étrange sur les épaules pèsent fortement sur son âme.
On troqua ses diverses surnoms pour un unique « Elu », Dumbledore se fit plus proche de lui, et, bientôt, dévoila un véritable besoin d’aide de la part de Harry. Totalement en-dehors de ce sujet, Harry découvrit aussi une association secrète et presque inquiétante composée de Serpentard attirés par la force grandissante de Voldemort. Ces élèves rénégats ont fondé un clan de soldats à l’instar de l’A.D. qu’ils nommèrent l’A.V. Cette copie outrageante risque de troubler la défense intérieure de Poudlard et menacer Dumbledore lui-même. Peut-être même que ces élèves n’avaient fondé l’A.V. de leur propre initiative... Il était temps pour Harry de reformer l’A.D. et de combattre les Forces du Mal aux côtés de Dumbledore. Mais malheureusement, il ne trouva plus ses bons amis de l'A.D à coté de lui. Les Mangemorts profitèrent de cette horrible occasion, et l'affaiblement de Dumbledore, pour faire apparaitre la marque des ténèbes au dessus du chateau de Poudlard, et attaquèrent ce dernier. Qui aurait imaginé, que Dumbledore sera la seule victime de cette attaque? Peut etre par-ce que Lord Voldemort voulait de lui seulement mort et les autres ne l'intéressaient pas vraiment, ou peut etre par-ce que les autres le bel échoué? En tous cas, Harry, prit plusieurs décisions après ceci. Il stoppa sa relation amoureuse avec Ginny, la petite soeur de son meilleur ami Ronald, puis décida de ne plus retourner à Poudlard meme si elle ouvre. Et il fut très content de trouver ses deux amis à ses cotés.
Aujourd'hui, Harry est en sa septième année de scolarité à l'école de la magie Poudlard, même si on peut pas dire ceci. Et oui, Harry avait bel et bien fait sa décision, et maintenant, il se trouve partout, cherchant les Horcruxes de Voldemort, accompagné de ses deux meilleurs amis Ron et Hermione. Alors, qu'est-ce que le destin lui cache?
amortentia ; quelles sont les odeurs qui vous plongeraient dans l'amuuur? Le parfum de Ginny.
épouvantard ; qu'est-ce qui vous fait le plus peur? Voldemort tuant ses amis à cause de lui.
patronus ; l'animal qui vous défendrait contre les Détraqueurs Un cerf, exactement comme son père.
balai ; Un éclair de feu que Sirius lui avait donné comme cadeau.
♣ Reality avatar; à réserver Daniel Radcliffe.
pseudo et/ou Prénom; Amitrochan.
âge; 17 ans.
comment avez-vous connu le forum; Dans une recherche d'un forum d'HP sur un forum de graphisme.
magic password? ; Je ne comprends plus lequel est le vrai xD Donc je cite les trois:
I love Dementors
There's a storm coming back...
Le couteau d'argent de Bellatrix
Dernière édition par Harry J. Potter le Sam 4 Sep 2010 - 20:38, édité 2 fois |
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